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MOMENT D’ÉMOTION LORSQUE JE ME DÉCOUVRE

Geniet van dit interview in Psychology Magazine, gebracht door Carine Anselme, die het verbluffende effect van Morpho-Beauté onderging - Enjoy this interview in Psychology Magazine, written by Carine Anselme who underwent the wonders of Morpho-Beauté.


Nog enkele plaatsen vrij op maandag 8 mei! A few spots left on Monday 8/05!

Wat houdt het in:

votre séance complète comprend un dossier digital et en live :
  1. analyse morphologique de votre visage

  2. fiche Psycho-beauté personnalisée

  3. séance de maquillage par Kobie Fossey

  4. fiche conseils maquillage, recherche de couleurs

  5. photos avant-après.

S é a n c e P s y c h o - b e a u t é ® - 150 € / h (temps recommandé 2h / 2h30)

Waar: Espace Bliss in Grimbergen


Voor reservatie - To book your spot please email Alexandra or whatsapp +41 78 956 94 61


ÊTRE BIEN } beauté J’AI TESTÉ LA MORPHO- BEAUTY

Et si, plutôt que de masquer, le maquillage pouvait nous révéler ? C’est le pari de la Morpho-Beauty, qui allie intelligemment développement personnel et maquillage thérapeutique. Une sacrée aventure quand, à mon image, on ne se maquille habituellement pas... et que l’on manque de confiance en soi. Par Carine Anselme - photos Julie Grégoire

Le jour entre à flots par les baies vi- trées de cette demeure Art Nouveau, où Alexandra Viragh, créatrice de la Morpho-Beauty, me reçoit. Je me tiens là, face à elle. En pleine lumière, au sens propre et fi- guré. Un rien crispée, curieuse de ce qui m’at- tend. Il n’est pas courant d’être au centre de l’attention, scrutée intensément... Au-delà du visage, c’est un peu de l’âme qui est mise à nu par le regard, fort heureusement bienveillant, d’Alexandra Viragh. Morpho-psychologue, celle qui fut notamment pionnière du Feng Shui dans les pays francophones a créé la Morpho-Beauty pour harmoniser potentiel intérieur et image de soi. « C’est l’art de révé- ler la beauté intérieure sur les traits du visage, en mariant morphologie et maquillage », ex- plique-t-elle à propos de son approche, sans me lâcher des yeux. Ce concept novateur de maquillage thérapeutique allie, pour le meil- leur, beauté et bien-être. Inhabituel comme cocktail qui, contrairement aux apparences, n’a rien de superficiel. Une beauté « intel- ligente », basée sur la connaissance de soi... jusque dans ses lumières et ses ombres les plus intimes.

CONTACT D’ordinaire, j’ai tout le loisir de disparaître derrière le carnet où je prends note. Autant dire que cela convient bien à mon tempérament, qui préfère se mettre aux abris, avec l’alibi patenté de devoir placer les autres en lumière. Là, point d’échappatoire ! Alexandra me demande illico presto de lâcher le stylo ; ce vieux compagnon de route qui m’aide à avoir de la contenance. « C’est indispensable, afin que nous restions en contact visuel », argu- mente-t-elle, devant mon air dépité. Je comprends vite que l’analyse complète de person- nalité à laquelle elle procède, en décodant le visage, est une lecture extrêmement subtile..



MOMENT D’ÉMOTION LORSQUE JE ME DÉCOUVRE À LA FIN DE LA SÉANCE DANS LE MIROIR: C’EST MOI-MÊME... EN MIEUX. UN RÉSULTAT BLUFFANT DE NATUREL!

qui ne tient qu’à un fil, connecté par le cœur. Pourtant, un certain scepticisme précédait notre rencontre. Comment, en effet, ne pas craindre une interprétation standardisée ? Bien sûr, en tant que professionnelle de cette technique, Alexandra Viragh utilise les outils de la morphopsychologie pour décrypter, sur les traits et expressions du visage, le fonctionnement de la personnalité. Mais s’y ajoute une perception ultrafine, nourrie par son expérience plurielle de l’accompagnement et une propension (sur ?)naturelle à l’écoute sensible, au-delà de ce qui est montré.

À LIVRE OUVERT Toujours est-il qu’après de longues minutes de face-à- face (littéral) où, de sa voix empathique, Alexandra traduit ce que ma bobine communique aux autres de mes forces et de mes faiblesses, je tire une drôle de tête (quoi, ma gueule... ?). J’aurais presque l’impression d’être chez une Madame Irma surdouée, tant ce qu’elle dit de moi est révélateur... pas seulement de ce que j’exprime consciemment, mais aussi de ce que, ni vu ni connu, je m’efforce de mettre sous le tapis pour mieux (me) le cacher. À voir Julie (la photographe qui m’accompagne - binôme professionnel et amie de longue date) ainsi sourire à mes côtés, je perçois qu’elle a tapé dans le mille ! « Il faut savoir qu’il existe un lien puissant entre le fond et la forme.

Notre personnalité, façonnée au gré des événements de notre existence, imprime, via les multiples expressions du visage, un mouvement, une force, une énergie dans la forme du visage. Comme dans un moule. La forme (comme en pâtisserie) est un réceptacle qui manifeste à l’extérieur notre potentiel profond », précise Alexandra.

MA VIE À FLEUR DE PEAU Plus troublant : ce qu’elle révèle n’est pas interchangeable. En lisant les sillons de mes rides d’expression, les pleins et les creux du visage, c’est vraiment de moi - de ma vie, de mes blessures d’enfance, de mes qualités, défauts et paradoxes - qu’elle parle. Avec un infini respect, je précise. « Il n’y a pas moyen de créer une systématique dans l’analyse », fait-elle remarquer, face à ma mine étonnée. Nos chemins professionnels s’étaient déjà croisés, il y a une dizaine d’années. Alexandra Viragh partage que mon visage s’est équilibré depuis ; adapté avec le temps à mes atouts, à mes manques. « Il y a eu un travail intérieur de structuration ; vous avez dû prendre votre place, mais tout en conservant la douceur qui vous est propre. » Il semble que je pallie (inconsciemment) à mes ombres intérieures, en partie du moins. Je ne sors ainsi pratiquement jamais sans un foulard qui vient, dit-elle, «contrebalancer un long cou, étroit et pâle, emblématique de quelqu’un qui va au-delà de ses limites ». Sans rentrer dans les détails (intimes) de son décryptage, Alexandra Viragh conclut que, plus que d’autres, j’arbore comme Janus deux visages. L’un expressif, vivant, souriant, lorsque que je suis en interaction, évoquant un besoin de contact. L’autre terriblement différent au repos, exprimant une « souciance » - ce néologisme me parle - et un fond de tristesse, masqués par une personnalité joviale... capable de se refermer comme une huître, à la moindre émotion. Elle parle alors de moi comme d’une « solitaire sociable ». Mots précis par lesquels je me définis !

SOI-MÊME... EN MIEUX Après cette phase d’analyse, Alexandra Viragh se saisit d’une feuille. S’y profilent les traits d’un visage féminin, sur lesquels elle projette le travail de modelage que, Kobie - la maquilleuse qui l’accompagne délicatement- mettra en œuvre pour harmoniser ces deux faces de mon être. Avec, en fil rouge, l’expression de davantage d’insouciance, doublée de cette « tendresse de soi » qui, apparemment, me fait défaut. Ici, loin d’un maquillage classique, on ne cherche pas à masquer les imperfections pour mettre uniquement en valeur les traits esthétiques du visage. Ce maquillage thérapeutique agit plutôt comme un révélateur.


« Au cours de l’analyse, je projette virtuellement le visage de la personne tel qu’il serait si celle-ci était au sommet de son potentiel. Tel un négatif photo, je superpose ce visage virtuellement épanoui au positif photo (au visage d’aujourd’hui). Il ne me reste plus, comme un peintre, qu’à sculpter, modeler le visage à l’aide du maquillage pour prolonger ce visage lumineux sur le visage actuel », explique Alexandra, tandis qu’elle pose sur le papier des touches d’éclat et nuages d’ombre à divers endroits clés de mon visage, selon mes besoins personnels. On est loin des archétypes des canons de beauté. Ainsi, mes sourcils n’arborent-ils pas la courbe synonyme de féminité. « Il ne faut pas beaucoup les arrondir, car cela vous permet de ne pas avoir trop d’interférences émotionnelles dans votre travail, de vous affirmer. » Quand Kobie me maquille, joignant le geste à la parole d’Alexandra, je ne vois pas ce qui se passe, mais curieusement je ressens plus d’assurance. De dignité, dirais-je même. Une féminité révélée. Moment d’émotion collective en constatant le résultat dans le miroir de la salle de bain... Je me découvre. C’est moi- même... en mieux. Le résultat est bluffant de naturel. Le soir, des amis proches me diront : « Tu es rayonnante », sans remarquer que je suis maquillée. Ce qui, pourtant, ne m’arrive jamais !


PSYCHOLOGIES MAGAZINE

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